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 C'est toi et moi contre le monde | Ft. Penny

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Matteo H. Whitaker
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MessageSujet: C'est toi et moi contre le monde | Ft. Penny   C'est toi et moi contre le monde | Ft. Penny EmptyDim 1 Sep - 10:45

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C'était une journée normale. Le soleil brillait, il faisait relativement chaud. Le genre de journée que j'adorais. J'avais envie de ne rien, juste de profiter de la journée au maximum. Debout depuis dix heures du matin, j'avais pris le temps de me prendre un pett déjeuner sur mon balcon, de prendre une douche, de jouer un peu aux jeux vidéos. Enfin de vraiment profiter. Le midi je m'étais fait livrer une pizza. J'étais pas doué en cuisine et puis c'était plus facile de manger une pizza en deux temps, trois mouvements. J'avais manger devant la télé. D'ailleurs c'était assez étonnant de me vir manger à midi comme toutes les personnes normales. J'exerçais un métier qui me faisait rentrer sur le coup des cinq ou six heures du matin. Autant vous dire que j'étais fatigué mais bon tant pis. Après finis de manger, j'envoyais un texto à Penny. J'avais envie de la voir, passer du temps avec elle, m'éclater comme un gamin de cinq ans. Juste être avec elle. Quelques minutes plus tard, je reçu une réponse positive. On se donna rendez-vous au Parc à 14h.

Je partis sur le coup des 13h45. Je ne pris pas ma voiture, j'habitais à même pas dix minutes. Je vis une voiture de police passée à côté de moi, j'étais pas rassuré. Ca faisait un an que la police italienne devait me chercher. Un an que j'avais réussis à m'échapper lors d'un casse qui avait mal terminé. Penny n'était pas au courant de cette histoire. Je n'avais ps l'intention de lui dire non plus. Je ne voulais pas qu'elle prenne peur ou quoi que ce soit. Et puis, c'était une partie de mon passé que je voulais oublier. Bref, j'arrivais le premier. J'allais me caler sur un banc au soleil et mis mes lunettes de soleil. J'attendais que Penny e rejoigne. Je mis mes écouteurs et chercha une chanson. J'avais l'habitude d'écouter de la musique, lorsque j'attendais quelqu'un. La musique c'était ma vie. 'adorais chanter et jouer de la guitare mais j'avais pas assez confiance en moi pour me lancer là dedans. J'avais déjà vu un rêve se briser, je ne voulais pas en voir un deuxième. Je continuais d'attendre Penny tout en changeant de chanson sur mon Ipod.
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Penny N. Williams
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MessageSujet: Re: C'est toi et moi contre le monde | Ft. Penny   C'est toi et moi contre le monde | Ft. Penny EmptyDim 1 Sep - 11:44





Matteo & Penny
Dis-moi que tu seras cet allié que j'attendais, dis-moi qu'on avancera toujours en tandem, dis-moi que tu seras me guérir de toutes ces plaies, dis-moi que malgré tout, tu ne changeras jamais, dis-le moi maintenant que tu seras lui.
Je revenais de mon jogging matinal pour me maintenir en forme. Il était hors de questions de me laisser comme avant. Je ne voulais pas revivre le même calvaire encore une fois. J’arrivais complètement a bout de forces, je m’étais levé à sept heures pour courir deux heures. Je m’écroulais dans le canapé, la bouteille d’eau a porté de moi. Je tendais difficilement le bras pour l’atteindre. Mes yeux se fermaient un peu tout seul. Je buvais une grande gorgée d’eau avant de me rendre dans ma salle de bain et de prendre une bonne douche. Il faisait beau et franchement, il fallait en profiter et courir au petit matin, c’était l’idéal quand même. Je sortis et mis un survêtement, j’allais trainer à la maison de toute façon et pas faire grand-chose aujourd’hui. Je ne m’ouvrais pas beaucoup aux autres alors forcément, pas tellement de personne ne se bousculer au portillon comme on dit. J’allumais la télé et m’allongeait dans mon canapé. Il ne fallut pas longtemps pour m’endormir.

J’ouvre les yeux précipitamment, j’entends mon portable qui est entrain de sonner. Je me lève rapidement et cherche mon téléphone un peu partout. Je le trouve au final dans mon sac à l'entrée. Je passe ma main dans mes cheveux tout en regardant le nom de la personne qui me l’envoie, Matteo. C’est sympa de penser à moi, instinctivement j’ai le sourire qui revient et je le lis ensuite, il me demande de le rejoindre au parc à 14h00. J’accepte immédiatement et je regarde l’heure. 12h45, ça va, ça me laisse le temps de me préparer. Je me fais cuire un truc vite fait histoire d’être à l’heure. Je ne vais pas me prendre la tête à lui plaire vu qu’au fond, je sais que je ne lui plais pas. Il me prend pour sa pote, pourtant, moi j’ai peur de ressentir un peu plus que de l’amitié à son égard mais seulement, ça, c’est mon petit secret, personne ne doit être au courant et encore moins le seul vrai ami que j’ai ici. Je prends un jean un peu délavé avec des trous au genou, que je mets avec un haut noir assez sympa avec des petites bretelles. Je me maquille vite fait et légèrement et je me coiffe, je laisse mes cheveux aux naturels tout en boostant un peu le volume en passant ma main dans mes cheveux. Je mange ensuite vite fait tout en regardant la télé. Je range un peu et je pars de chez moi, pour être à l’heure au rendez-vous. Je prends ma voiture, le parc est quand même assez loin de chez moi à pied. Sauf que je tombe dans un petit embouteillage qui me fait perd dix minutes, je soupire. Je pose mon bras sur la portière tout en attendant de passer. J’arrive dix minutes plus tard au jardin l’air gêné, visiblement. Je gare vite fait ma voiture sur le parking et je marche en direction du parc. J’envoie un message à Matteo pour savoir où il est et je continue à marcher quand je le repère. Un sourire vient alors illuminer mon visage, je m’approche vers lui et lui fait la bise en disant « Salut comment vas-tu ? » j’étais totalement détendue, je n’avais peur de rien. Je me sentais totalement en sécurité et il m’apprenait les bases de l’amitié ensuite, j’avais vraiment confiance en lui. Je me sentais beaucoup mieux et c’était en grande partie grâce à lui. « Alors comme ça, je te manquais un petit peu ? » je riais pour essayer de masquer ma gêne et de lui faire passer le message que je plaisantais mais au fond, j’essayais d’avoir un peu des informations même si je connaissais Matteo, il allait plutôt me renvoyer ma vanne qu’autre chose. Et au final, je serais qu’on est simplement des potes.
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Matteo H. Whitaker
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MessageSujet: Re: C'est toi et moi contre le monde | Ft. Penny   C'est toi et moi contre le monde | Ft. Penny EmptyDim 1 Sep - 12:18

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La journée avait plutôt bien commencé. J'étais fatigué, j'avais dormis à peine quatre heures. D'habitude je me levais en début d'après-midi. C'était rare de me voir émerger avec les 14h mais là, je ne sais pas ce quelle mouche m'avait piqué. J'avais décidé de proposer une sortie tranquille avec Penny. Depuis quelques temps, j'avais l'impression de ressentir plus que de l'amitié pour elle. Je voulais la voir, juste être avec elle. Il fallait avouer qu'elle me manquait aussi. Pourtant, je faisais tout pour ne pas penser à ce genre de sentiment. Je ne voulais pas souffrir. Je ne voulais pas ouvrir mon coeur. Pas de cette façon là en tous cas. Certes, lui proposer une sortie ce n'était pas le meilleur plan pour oublier ces sentiments mais tant pis. Je ne fais jamais rien comme tous le monde de toutes façons. Assis sur mon banc au soleil, je continuais d'écouter de la musique. Ca faisait quelques jours que je n'avais pas touché à ma guitare, plus par manque de temps qu'autre chose. Je reçu alors un texto venant de Penny qui me demandait où j'étais. Je m’appétais à répondre, lorsque je la vis entrer dans le parc. J'enlevai mes écouteurs et rangea mon Ipod dans la poche. Je lui souris. Il n'y avait pas à dire, ça me faisait vraiment plaisir de la voir. Je répondis:

« Ouais ça va et toi? » J'adorais Penny. Elle avait réussit à se confier, j'avais fait pareil. Je savais que je pouvais compter sur elle. Enfin sauf peut-être le jour où je serais derrière les barreaux. Si jamais ce jour arrive. Je lui souris puis répondis sur un ton assez sérieux: « J'dois avouer que tu m'as un peu manqué. Et moi je t'ai manqué? »

Ouais, j'aurais pu lui faire une vieille vanne pourrie comme je savais les faire mais j'avais envie d'être sincère. Et puis ce n'était pas un crime de dire à une amie qu'elle nous avait manqué, si? Je la regarda quelques instants derrières mes lunettes de soleil, et attendit sa réponse. Je regarda mon portable, pour voir si je n'avais pas de message, puis le rangea et reporta sur Penny.
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Penny N. Williams
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MessageSujet: Re: C'est toi et moi contre le monde | Ft. Penny   C'est toi et moi contre le monde | Ft. Penny EmptyDim 1 Sep - 13:14





Matteo & Penny
Dis-moi que tu seras cet allié que j'attendais, dis-moi qu'on avancera toujours en tandem, dis-moi que tu seras me guérir de toutes ces plaies, dis-moi que malgré tout, tu ne changeras jamais, dis-le moi maintenant que tu seras lui.
En route vers le parc, j’avais une grande envie de retrouver mon ami. C’était bien l’un des seuls vu que j’étais renfermé sur moi-même et je n’avais avoué la vérité qu’à Matteo sur le pourquoi du comment, j’étais comme ça. J’avais besoin de me confier un soir et il avait réussi à me mettre en confiance, j’avais besoin d’en parler, je ne sais pas pourquoi ce soir là particulièrement. Ca m’avait fait vraiment du bien sur le coup, ma croix était moins lourde à porter vu qu’on la portait tous les deux, au moins pour un soir, je lui exprimais ma plus grosse souffrance et mon chagrin qui a duré pendant des années, je ne m’étais pas habitué à cette peine. Je me trouvais complètement faible et après, le lendemain après cette révélation à mon ami. J’éprouvais un sentiment de culpabilité et d’angoisse. Culpabilité dans le sens où je ne pouvais que lui inspirer encore plus de pitié désormais. Il se dirait que c’est plus possible de se débarrasser de moi et d’angoisse parce que maintenant son regard allait changer sur moi et peut-être qu’il ferait tout pour qu’on s’éloigne. Ainsi, progressivement, on allait de moins en moins se voir. Matteo me laisserait avec mon seul ami, Solitude, qui ne me lâche pratiquement jamais. Il mange avec moi, il prend sa douche, il me pose plein de question mais moi, je n’ai qu’une envie qu’il me lâche. Solitude et agressive et cassant mais parfois il peut faire preuve de douceur. C’était rare mais quand il voyait vraiment que ça n’allait pas, il faisait tout pour me réconforter. Matteo ne serait pas le seul à me laisser tomber, beaucoup l’ont fait avec eux ou n’ont même pas pris la peine de me connaitre. Je devais faire impasse sur mes sentiments, c’était la meilleure chose à faire. Mais je ne sais pas si j’arriverais aussi facilement à renoncer à son amitié. Je ne sais pas pourquoi il m’invitait à venir avec lui, je sais qu’il m’apprécie mais est-ce la véritable raison ou c’est par pitié aussi ? J’étais un peu méfiante, je ne pouvais pas changer mes habitudes comme ça, en un claquement de doigts. Pourtant quand je le vis, je voulais juste m’amuser et ne plus penser à autre chose, juste à la superbe après-midi que je vais passer. Je savais que c’était un musicien car lors de cette même soirée, je l’avais poussé à se confier à moi, une sorte de don mutuel. J’étais ravie qu’il l’es fait. Je l’adore. Un peu trop à mon gout pour tout dire. « Ouais ça va et toi? » répondit-il à ma question précédente, je n’avais pas grand-chose à ajouter aussi. J’étais bien, je n’avais pas fais quelque chose de spécial. Je n’avais pas eu d’accident, tout allait parfaitement bien. « Oui ça va aussi, merci beaucoup de demander ! » Je passais une main dans mes cheveux tout en scrutant le ciel et les alentours. Je replaçais correctement mes mèches doucement tout en passant mon regard sur Matteo. J’évitais de trop le regarder pour être honnête, j’ajoutais ensuite « Elle est où ta guitare ? » oui, je ne l’avais jamais entendu chanter et il m’avait promis de me jouer un morceau, un jour alors je le taquinais doucement, un large sourire sur mes lèvres. Je regardais Matteo quand il ne me regardait pas, dès que je sentais son regard dévier sur moi, je plaçais mon regard ailleurs, sur les gens qui passaient, le jardin. C’était comme si je redevenais adolescente bien que techniquement, je n’avais pas encore vraiment dépassé ce stade. « J'dois avouer que tu m'as un peu manqué. Et moi je t'ai manqué? » Ce n’est pas vraiment la réponse que j’attendais, je souriais doucement et je deviens aussi rouge qu’une tomate. J’étais agréablement surprise dans le bon sens. Je ne savais plus où me mettre, j’avais réellement envie de me cacher dans un trou de souris. Je baisse la tête doucement, j’essayais de reprendre le contrôle sur moi-même, mais pas moyen. « Oui, toi aussi tu m’as un peu manqué ! » un peu était un doux euphémisme, j’arrivais plus à le taquiner là. Il m’avait bien eu quand même. Je me levais ensuite en disant « On marche ? »
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Matteo H. Whitaker
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MessageSujet: Re: C'est toi et moi contre le monde | Ft. Penny   C'est toi et moi contre le monde | Ft. Penny EmptyDim 1 Sep - 13:45

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Penny et moi, c’étaient une amitié comme on n’en a jamais vu. Je m’étais confié à elle, elle avait fait pareil alors qu’au final on ne se connaissait pas tant que ça. Simplement je pensais n’avoir aucunes chances avec elle. Je ne savais pas si réellement j’avais des sentiments comme ça pour elle. J’étais un peu perdu. Une chose était sûre, je ne voulais pas lui en parler. Je laissais le temps faire les choses. On avait besoin de temps : moi parce que je ne suis pas du genre à m’accrocher aux filles et elle, parce qu’elle avait pas mal souffert à cause de son ex. Je ne voulais pas la brusquer. Et puis, peut-être que simplement elle me considérait comme un pote sur qui elle peut compter. Ni plus, ni moins. Aujourd’hui, j’avais décidé de passer un peu de temps avec elle, sans arrière-pensée. Juste passer une après-midi entre amis. J’avais opté pour le parc. Pourquoi ? J’en savais rien. C’était un endroit où tu peux t’amuser, rigoler, parler sans gêné les autres. Et puis, tous les anglais vont dans les parcs lorsqu’ils ont une une après-midi aussi radieuse que celle-là. Elle avait accepté. De toute façon, je l’aurais mal pris si elle avait refusé. A peine était-elle qu’on s’échangeait des banalités, rien de bien intéressant. Puis, elle me demanda où était ma guitare. Bah voyons, comme si j’allais l’emmener partout avec moi. Je lui souris puis répondis :

« Elle est au chaud à la maison, je lui ai demandé de venir mais elle n’a pas voulu. »

Blague pourrie du jour, bonjour. J’aimais bien dire des trucs nuls comme ça. Ca faisait rire les autres des fois. Et puis, ça avait le don de détendre l’atmosphère de temps en temps. Je pouvais être un vrai clown lorsque je m’y mettais réellement. Je regardais Penny, attendant une réaction de sa part à ma blague toute nulle. Je lui avouai ensuite qu’elle m’avait manqué. Quoi ? J’avais bien le droit de dire  l’une de mes amies qu’elle m’avait manqué. Ca n’avait rien d’ambigu ou quoi que ce soit d’autres. Et puis même si ça signifiait quelque chose, ça lui donnait un petit signe c’est tout. Au pire, je m’en moquais vu qu’elle ne ressentait rien pour moi. Je n’allais pas me prendre la tête avec ça, c’était hors de question. Je n’étais pas du tout ce genre de mec et ce n’est pas à cause ou grâce à Penny que je deviendrais comme ça. Par la suite, elle m’avouait que je lui avais manqué aussi. J’eus un petit sourire puis elle me proposa de marcher. Je me levai et répondis :

« Ouais allons-y. » Je marchais quelques minutes à côté d’elle sans rien dire, puis lui proposa : « J’ai vu qu’il y avait un marchand de glace là-bas, t’en veux une ? »

J’étais gentleman dans mon genre et puis, ça me faisait plaisir de lui offrir une glace. Je commençais à m’avancer vers le petit camion coloré tout en attendant sa réponse. Elle avait le droit de refuser, ça ne m’empêcherait pas d’en manger une.
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MessageSujet: Re: C'est toi et moi contre le monde | Ft. Penny   C'est toi et moi contre le monde | Ft. Penny EmptyDim 1 Sep - 14:23





Matteo & Penny
Dis-moi que tu seras cet allié que j'attendais, dis-moi qu'on avancera toujours en tandem, dis-moi que tu seras me guérir de toutes ces plaies, dis-moi que malgré tout, tu ne changeras jamais, dis-le moi maintenant que tu seras lui.
Je suis très heureuse d’avoir Matteo dans ma nouvelle vie. Ca me fait réellement du bien de savoir que je peux compter sur quelqu’un désormais. Je ne sais pas comment Matteo a réussi à gagner ma confiance, il l’a gagné facilement alors que j’étais brisé, comme je l’ai toujours été, je ne devais pas être bien intéressante, je ne savais pas pourquoi il s’intéressait à moi comme ça. Personne n’avait voulu m’approcher avant en Irlande, mais Matteo était tout simplement différent des autres. Ca me faisait bizarre parfois quand il me proposait des sorties, je me demandais si c’était vraiment à moi, je n’avais pas l’habitude et je découvrais ces joies là. Le fait de s’amuser à nouveau avec quelqu’un. Je ne voulais pas perdre Matteo, j’étais vraiment attachée à lui. Il arrivait à me faire rire, à me faire sourire même quand tout allait mal. Le soir où je me confiée à lui, il a réussi à me faire sourire, chose que même mes parents n’avaient pas réussis. Je me sentais mieux à Manchester, pour rien au monde, je voudrais retourner à Dublin, bien que mes parents me manquent. Partir à l’inconnu et déménager a sans doute été la meilleure décision que j’ai prise. Sinon, je n’aurais pas rencontré Matteo et ça aurait été plus triste. « Elle est au chaud à la maison, je lui ai demandé de venir mais elle n’a pas voulu. » Je le regardais en riant légèrement, bah tiens, c’est surtout lui qui ne voulait pas l’emmener, je croisais les bras tout en continuant de le regarder avec un petit sourire amusé. « Dis plutôt que c’est toi qui ne voulait pas la prendre pour me chanter une chanson. » je lui tirais ensuite la langue telle une gamine, à chaque fois, c’était comme ça, on se taquinait gentiment. J’aimais ça, c’était drôle, on se sortait des vannes pourries, parfois drôle mais au final, on s’ennuyait pas et on passait un bon moment ensemble, c’était ça le principal, se changer les idées. Matteo était aussi quelqu’un de torturé, il m’avait confié certaines choses qui pouvait briser le cœur, plus son accident qui avait du le pousser à arrêter le ski, malheureusement. J’étais triste pour lui. J’étais toujours toute rouge, je suis timide comme fille, et ça je crois que ça restera dans ma personnalité. C’est compliqué de dire la vérité tout en cachant ce qu’on ressent vraiment. Matteo l’avait interprété comme un ami et c’était sans doute mieux comme ça, je ne voulais pas perdre mon plus proche ami pour une histoire de sentiments, surtout que ça n’avait pas l’air réciproque alors, les cacher était la meilleure solution, je lui proposais de marcher et il me répondit qu’il était d’accord, je souriais. Super. On marchait ensuite l’un à côté de l’autre, il y avait un petit blanc c’est vrai, on n’est pas des grosses pipelettes mais on arrivait à se comprendre d’un simple regard donc ça, c’était cool. Je regardais autour de moi, le jardin était magnifique, je croisais le regard de certaines personnes aussi, des inconnues, je baissais automatiquement la tête, les bonnes habitudes sont toujours là. Matteo me proposait ensuite une glace, c’est vrai qu’il faisait chaud, je le regardais avec un petit sourire en disant « Oui, je veux bien s’il te plait mais laisse-moi payer ! » non mais c’est vrai, j’avais horreur qu’on m’offre des trucs, ça me gênait encore plus. Moi ça ne me dérangeait pas de payer mais que les autres me paient quelque chose, c’était un peu plus dérangeant. On se dirigeait ensuite vers le marchand de glace et je lui demandais une glace au chocolat. Il nous préparait ça et je jetais des coups d’oeils à Matteo mais détournait la tête quand je le voyais bouger son regard. « Merci Matt en tous cas de m’avoir proposé cette journée, t’étais pas obligé, t’aurais pu t’enfuir après tout ce que je t’ai dis ! » je me sentais réellement redevable envers lui pendant longtemps parce que c’est le premier à m’avoir accepté tel que je suis.
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MessageSujet: Re: C'est toi et moi contre le monde | Ft. Penny   C'est toi et moi contre le monde | Ft. Penny EmptyDim 1 Sep - 14:51

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J’adorais Penny. La sensibilité qu’elle avait, le fait qu’elle ait réussit à me parler que j’ai réussis à lui dire beaucoup de chose sur moi. Je ne lui avais pas tout dis. Notamment sur le fait que j’étais recherché par la police et que j’avais travaillé pour la mafia suite à mon accident de ski. Je ne sais pas si je pourrais un jour lui dire. Je ne voulais pas qu’elle prenne peur parce que j’avais fait des choses dont je n’étais pas forcément fier. Certes, il y avait pas mal de chance pour que la police ait arrêté les recherches me concernant mais si un jour, je me retrouve derrière les barreaux qu’est-ce que je lui dirais ? Excuse-moi, je voulais ne pas te mêler à ça ? Bah voyons, la connaissant ç ne passerait pas et puis je lui avais promis de ne jamais lui mentir. Quoi qu’il en soit ce n’est certainement pas cet après-midi que j’allais lui dire. Quoi que entre deux bouchées de glace, je pourrais dire un truc du genre : « oh, au fait, je t’ai pas dit la police me recherche ». J’eus un sourire en pensant à ça. J’aimerais bien voir sa tête mais je ne voulais pas rigoler là-dessus non plus. Elle me répondit que c’était surtout moi qui n’avais pas voulu emmener. Je rigolais et la regarda. Je croisais les bras et fit mine de bouder :

« Nan c’est pas vrai. Et puis, c’est moi qui ait proposé la sortie alors c’est moi qui décide si oui ou non je dois prendre ma guitare. »

Avec ma réflexion, j’agissais un peu comme un gamin de cinq ans mais c’est ça qui était drôle. Je continuais de marcher à côté de Penny. Je n’étais pas du genre bavard, j’étais plutôt observateur. A cause de ça, les gens avaient du mal à me cerner. Certains allaient même jusqu’à dire qu’ils me détestaient. D’un autre côté, je prenais un malin plaisir à être insondable. Moins on en sait sur moi, mieux je me porte. J’avais ensuite proposé une glace à Penny. Il faisait chaud et c’était un temps idéal pour en manger. Elle me répondit qu’elle voulait payer. Je levais les yeux au ciel et répondis en soupirant :

« Dans tes rêves, tu paies ouais. »
Je demandais une glace au chocolat aussi. C’était presque systématique avec moi et je payai le marchand de glace que ça plaise ou non à Penny. De toute façon, elle n’avait pas le choix. Elle me remercia ensuite de lui avoir proposé cette sortie. Je répondis : « Ouais j’aurais pu m’enfuir, t’as pas tort. Mais j’sais pas si tu l’as remarqué, j’ai envie de rester parce que je t’aime bien, que t’es cool et que en plus t’es la seule à en savoir autant sur moi. Et puis tu sais, j’suis pas un connard et ce n’est pas parce que t’as eu un passé difficile et tout que j’vais me barrer. » Je lui souris puis commençait à manger ma glace tout en continuant de marcher à ces côtés.
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MessageSujet: Re: C'est toi et moi contre le monde | Ft. Penny   C'est toi et moi contre le monde | Ft. Penny EmptyDim 1 Sep - 15:17





Matteo & Penny
Dis-moi que tu seras cet allié que j'attendais, dis-moi qu'on avancera toujours en tandem, dis-moi que tu seras me guérir de toutes ces plaies, dis-moi que malgré tout, tu ne changeras jamais, dis-le moi maintenant que tu seras lui.
Le soir où on s’est fait nos confidences, on s’est promis de ne pas se mentir. Je ne lui ai jamais menti, je lui ai caché la vérité pendant longtemps parce que je ne voulais pas le perdre comme j’ai perdu mon ex. Grâce à Matteo, j’arrivais à me reconstruire petit à petit et je me sentais un peu plus forte, c’était le principal. A prendre gout à l’amitié et au fait de s’attacher à quelqu’un d’autre que ma famille ou mes parents. Je le trouvais vraiment adorable de ne pas me juger, c’est vrai, il pourrait. Je m’étais découvert une passion pour le rire, j’adorais rire et sourire même si les blagues ne sont pas plus marrantes que ça, c’est vrai que ça faisait du bien de sourire des fois. C’est vrai que de voir un visage souriant, c’est réconfortant. Matteo montrait à tout le monde la facette qu’il voulait, depuis nos confidences, je découvre quelqu’un de vraiment magnifique, j’arrive à gratter et je vois tel qu’il est et j’adore ce qu’il y a derrière cette facette de gros dur, froid. Je ne sais pas si ça lui plait ce qu’il voit, celle de la petite fille apeuré qui a peur des autres, je ne pense pas. C’est vrai qui aimerait une fille comme moi, j’étais surprise qu’il m’aimait bien et qu’à chaque fois il me proposait des sorties. Il était vraiment gentil mais j’avais peur qu’il a simplement de la pitié pour moi, il fait ça parce que je suis une pauvre fille qui n’arrive pas à se faire des amis, même si je pensais que ce n’était pas son genre mais depuis mon ex, je n’arrivais plus à savoir le vrai du faux. Il fit mine de bouder suite à mes accusations, je rigolais doucement, je le regardais et lui fit un bisou sur la joue puis je baissais la tête, parce que je rougissais un peu. Une vraie gamine. « Je suis désolé, je ne voulais pas te vexer, fais pas cette tête, t’es plus beau quand tu souris, mais la prochaine fois, je veux entendre ta voix et ta guitare, c’est promis ? » les gens pensaient que j’étais coincé, j’étais juste réservé, je n’en dis pas beaucoup sur moi. Je ne me mêles pas trop aux gens parce que je n’ai pas l’habitude et puis maintenant, je suis moins naïve, j’ai moins foi en les gens et en leur bonté, on ne peut plus me prendre pour une crétine, avant ça marchait, plus maintenant. On allait ensuite vers le marchand de glace et Matteo a refusé de me laisser payer, c’est lui qui paya nos deux glaces. C’était gentil, mais qu’il ne croit pas que j’allais le laisser payer la prochaine fois, je pris la glace quand même tout en disant « La prochaine fois, c’est moi qui paie et t’as pas le droit de dire non ! » voilà au moins j’avais annoncé la couleur, j’étais un peu gênée. Sa réponse me faisait sourire, il était vraiment cool mais c’est à ce moment là où je voyais qu’il me voyait comme une pote, ce n’était pas plus mal. Je t’aime bien, c’est pour les potes et je suis sa pote. Je ne suis pas déçue, non, en même temps, il n’allait pas s’intéresser à quelqu’un comme moi, c’est évidement. Il était bien trop beau pour ça et surtout, il pouvait se taper toutes les filles qu’il voulait, il n’allait pas choisir une pauvre fille. « Merci t’es adorable.. et moi aussi je t’aime bien ! » Vraiment, je l’aimais un peu plus que bien, mais je devais oublier ses sentiments, ça allait tout gâcher entre nous, non, il ne fallait pas que je ressente ça pour Matteo. Je ne voulais pas prendre mes distances avec lui, je voulais rester proche de lui mais je sais qu’au bout d’un moment, ça allait me faire souffrir. Bref, je balaie cette pensée de ma tête et on commence à marcher tout en mangeant notre glace, quand tout d’un coup, un gros chien style rottweiler s’approche de nous, il est en liberté, et j’ai une peur panique de ce genre de gros je viens, je sursaute et je me mets à crier et je ne fais pas attention mais je passe ma glace sur la joue de Matteo qui a une grande trace de chocolat. Je tremble, et le chien le ressent, il se rapproche de nous. « Oh mon dieu, oh mon dieu ! » dis-je tout en me reculant tandis que le chien s’approchait, je tirais Matteo par le bras, il était joli avec sa trace de chocolat, vraiment. « Matteo, on fait demi-tour ! » dis-je rapidement, j’avais trop peur. Le maitre rappela son chien. Heureusement, je soufflais ensuite et je me mis à rougir tout en baissant la tête, on venait de se faire remarquer. Je me sentais vraiment nulle. « Je suis désolé pour tout, j’ai vraiment le don pour tout gâcher. » Je passais mon doigt sur ma joue pour enlever un peu de chocolat mais j’étais toute rouge, vraiment rouge tomate, encore une fois. « Je suis vraiment désolé ! » oui je continuais de m’excuser, il allait me prendre pour une folle hystérique.
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MessageSujet: Re: C'est toi et moi contre le monde | Ft. Penny   C'est toi et moi contre le monde | Ft. Penny EmptyDim 1 Sep - 16:01

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Parce que s’autoriser à aimer quelqu’un, s’était aussi prendre le risque de souffrir, je n’avais jamais réussis à ouvrir mon cœur. Je n’avais pas envie qu’une fille est autant d’emprise sur moi, au point de réussir à me détruire le cœur. Quel est l’idiot qui a dit que les mecs ne pleuraient pas pour une fille ? Moi, je crois que lorsqu’il est vraiment amoureux, il peut pleurer si la fille lui fait du mal. De toute façon, Penny ne ressentait absolument rien pour moi. Pourquoi s’intéresserait-elle à moi ? J’ai pas forcément énormément d’argent, je suis plutôt du genre bad boy à être un peu anticonformiste sur les bords, je pouvais être violent. Qu’est-ce qui pourrait bien l’attirer, sérieusement ? Et puis, vu comment elle avait souffert avec son ex ce n’est pas sûr qu’elle s’autorise à avoir ce genre de sentiment. Je chassai cette idée de la tête. Oublier mes sentiments pour ne pas briser une amitié comme celle-là, c’était la meilleure chose à faire. Je la vis baisser la tête et s’excuser. Je la regardai et répondis :

« Je te promets rien si tu continues de t’excuser et je continue de bouder qui plus est. »


Elle n’avait pas à s’excuser. Et j’allais tout faire pour qu’elle arrête de s’excuse quatre cent cinquante fois par jour. Le pire c’était que j’étais borné et que je savais que j’y arriverais. De toute façon, c’était elle qui était perdante dans l’histoire : si elle s’excuse, elle ne m’entendra plus jamais chanter que ce soit avec ou sans guitare. On arrivait donc au marchand de glace et je payais nos deux glaces. Non mais elle avait vraiment cru qu’elle allait payer ? La blague. Je pris ma glace et ne put m’empêcher de sourire à sa réflexion :

« Si j’ai le droit de dire non. Tu veux que je te fasse une démonstration ? » Je n’attendis pas qu’elle réponde que j’enchaînai déjà : « Regarde : Non c’est pas toi qui paiera la prochaine fois. »

Moi ? Chiant ? Non pas du tout. J’étais plutôt réaliste. Depuis quand les filles payaient ? C’était du jamais vu et puis je ne voulais pas qu’elle se sente obligé de me payer un truc parce que je lui avais offert une glace. Ce n’était pas du donnant-donnant. Je souris lorsqu’elle me dit qu’elle m’aimait bien. Au moins, là ça avait le mérite d’être clair. Elle m’aimait juste bien, comme un pote quoi. D’un autre côté, c’était peut-être mieux ainsi. On continue de marcher dans le parc tout en mangeant nos glaces lorsqu’un chien s’approche de nous. Une sorte de rottweiler. Penny commençait à paniquer totalement et elle me mit de la glace sur la joue. Je regardais le chien dans les yeux sans bouger. On m’avait toujours dit que lorsqu’on regarde un chien dans les yeux, il se sent agresser, parfois ça pouvait les calme. Je n’avais pas peur des chiens aussi méchant soit-il. Penny me tira par le bras mais je ne bougeai pas. Le maître rappela alors son chien, je lui lançai un regard noir au passage. Quoi ? S’il nous avait attaqué, il aurait fait quoi, franchement ? Elle passa ensuite ton doigt sur ma joue pour enlever le chocolat, c’était mignon. J’eus un sourire en la voyant rougir. C’était trop mignon. Je la regardai dans les yeux et répondit :

« Eh, c’est juste de la glace, t’as pas à t’excuser. » J’aurais bien eu envie de l’embrasser. Je détournai les yeux, il fallait vraiment que j’arrête avec ça. A la place, je pris Penny dans mes bras. Ca avait l’avantage d’être ambigu, au moins : les amis le font comme les amoureux. J’ajoutais ensuite : « J’te jure, c’est pas grave. Et puis, c’est pas ta faute si l’autre guignol, il est pas foutu de son géré son molosse. » Je m’éloignai ensuite et la prit par les épaules pour continuer d’avancer dans le parc tout en mangeant nos glaces.
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Penny N. Williams
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MessageSujet: Re: C'est toi et moi contre le monde | Ft. Penny   C'est toi et moi contre le monde | Ft. Penny EmptyDim 1 Sep - 16:41





Matteo & Penny
Dis-moi que tu seras cet allié que j'attendais, dis-moi qu'on avancera toujours en tandem, dis-moi que tu seras me guérir de toutes ces plaies, dis-moi que malgré tout, tu ne changeras jamais, dis-le moi maintenant que tu seras lui.
« Je te promets rien si tu continues de t’excuser et je continue de bouder qui plus est. » je le regardais avec un petit sourire, il n’avait pas tort, mais je ne pouvais m’empêcher de dire que j’étais désolé. C’était une habitude chez moi, j’ai souvent dis à mes parents que j’étais désolé d’exister mais ils n’ont jamais réellement fait gaffe et il me laisser emmuré dans mon silence et le regard triste tout en contemplant notre maison. Ils m’ont aimé, c’est les seuls qui l’ont fait mais ils étaient trop pris par leur travail. Je ne leur en veux pas, c’est grâce à eux que j’ai eu un train de vie décents, voir riches, je pouvais m’acheter ce qu’il me plaisait mais toutes les fringues du monde ne remplace pas une présence. Matteo ne voulait plus que je m’excuse, il m’aidait comme il pouvait mais ça n’allait pas partir comme ça du jour au lendemain, je l’ai trop souvent répété. Je le regardais en disant « D’accord, je suis.. Non rien, oublie ! » oui, je tenais à avoir ma chanson et qu’il ne boude plus, je devais vraiment me contrôler, encore une fois, ça allait sortir tout seul. Je voulais ensuite payer un truc parce que franchement, ça me gênait vachement qu’on paie pour moi. Je préfère me débrouiller toute seule, il me regarde en disant qu’il pouvait faire une démonstration et qu’il me montre à quel point il sait bien dire non, j’arque un sourcil tout en le regardant. Ce n’était pas tout le temps à lui de payer, j’avais l’impression que je profitais de lui alors que je ne profitais pas du tout. C’est donnant-donnant pour moi. Il ne me laisse pas le temps de répliquer qu’il me dit que ce ne sera pas moi qui paiera la prochaine fois, c’est ce qu’on va voir, j’étais peut-être faible comme une fille mais j’étais quand même un peu têtue quand je le voulais. Je le regardais et je croisais les bras, en lui disant « Ca c’est ce qu’on verra ! » je le regardais et je lui dis avec un petit sourire « Non sérieux, j’aime pas qu’on paie pour moi, j’ai l’impression de profiter de toi alors que ce n’est pas le cas, tout ce dont j’ai envie, c’est qu’on passe un bon moment, pas que tu te ruines pour moi ! » et puis on avançait, on ne sait pas où on allait mais on errait, on se baladait un petit peu sous un beau soleil. J’adore, et j’aurais envie de faire ça tous les jours.
Puis il y eut ensuite l’épisode du chien, il m’a fait peur quand même, j’en tremblais encore. C’est une peur panique depuis que je suis toute petite. Les rottweilers, ils me font flipper même les bergers Allemand. J’avais entendu trop de sujets sur des enfants mordus et j’en ai développé une phobie. Matteo n’avait pas peur lui et il fixait le chien, ça me faisait encore plus peur à ce moment-là, je voulais partir, je ne voulais plus rester à côté du chien mais Matteo voulait le faire fuir. J’avais peur qu’il lui saute à la gorge, le chien pouvait se sentir menacé et je ne voulais pas qu’il aille à l’hôpital par ma faute, parce que j’ai peur des gros chiens. Une fois le chien partit, je lui enlevais la glace que j’avais déposé sur sa joue, j’avais failli lâcher la glace quand même par la trouille, j’en tremblais un petit peu, j’avais encore les poils hérissé, je caressais doucement sa joue pour éviter de lui faire mal, on se regardait dans les yeux. « Eh, c’est juste de la glace, t’as pas à t’excuser. » Ce moment était parfait, je me sentais fébrile à ce moment là, je voulais que nos lèvres se rapprochent mais il détournait les yeux, je baissais à nouveau les yeux, enfaites, c’était un peu gênant, je m’en voulais d’avoir ce genre de pensée, on était juste amis, c’est ce qu’il voulait, je devais m’y faire. Et moi aussi j’avais peur d’aimer quelque part et je n’étais pas assez courageuse pour lui avouer ce que je ressentais. « Si, par ma faute tu peux te faire piquer ! » ouais, des sales bêtes, dès que ça flaire le sucre, c’est mort. Une fois tout enlevé, Matteo me prit dans ces bras, je profitais doucement de l’étreinte et je me surprenais encore à rêver, j’étais nulle, complètement nulle, c’est ce que tous les amis font. Je ne voulais pas qu’il me lâche, je pouvais rester des heures comme ça. On se séparait doucement et il me dit que ce n’était pas de ma faute, je rougissais encore un peu en disant « Oui, quand même, je suis stupide, il aurait pu me sauter dessus ! » je passais la main dans mes cheveux ensuite puis il me prit par les épaules et on continuait de marcher, tous les deux en mangeant nos glaces, je regardais les gens tout en essayant de ne pas croiser leur regard. Certaines personnes s’attardaient à nous regarder et je baissais les yeux, sentant mon regard sur moi, je n’étais pas encore tout à fait à l’aise. Ils pensaient qu’on était sans doute en couple alors qu’on ne l’est pas. Je finissais ma glace et j’avais un peu envie de l’embêter, je passais ma main sous ses flancs pour le chatouiller un peu, je ne savais pas s’il était mais moi, je l’étais vraiment. Après avoir pris une bonne glace, pourquoi ne pas se dépenser. Je le regarde et enlève son bras de mes épaules en disant avec un petit sourire amusée « Tu vas te venger ? » Au cas où, je m’éloignais un peu de lui, je n’hésiterais pas à courir dans l’herbe pour éviter de me prendre les gens. On était jeune, on pouvait encore profiter.
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Matteo H. Whitaker
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MessageSujet: Re: C'est toi et moi contre le monde | Ft. Penny   C'est toi et moi contre le monde | Ft. Penny EmptyDim 1 Sep - 19:04

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Comment avouer à quelqu’un que tu l’aimes quand toi-même à la base t’es persuadé que ce n’est pas une chose faîte et que tu penses pouvoir cacher tes sentiments ? Comment faire quand tu te rends compte, qu’en fait tu peux plus vivre sans cette personne mais que t’as trop peur d’ouvrir ton cœur ? Je ne montrais rien, j’étais comme ça et je ne vois pas pourquoi ça changerais avec Penny. Et pourtant… Penny était loin d’être comme les autres. Je passais d’une fille à une autre sans scrupule et je savais que même si j’avais une chance avec elle, je ne serais pas à la hauteur. Et puis, il fallait penser aussi au fait qu’il fallait que je la mette au courant de mes problèmes avec les flics. J’avais peur que son regard change, qu’elle me voit comme le mec qui a braqué une banque et qui s’en est tiré facilement. Elle aurait le droit de penser ça de moi, après tout. Je souris, elle faillit s’excuser une nouvelle fois mais elle prit sur elle. J’étais fier de moi, même si je savais qu’elle recommencerait à s’excuser. Je voulais l’aider à ne plus se sentir coupable, lui montrer que même si les gens sont des connards de première, il y a en a d’autre qui sont cool. Je lui lançai :

« Mouais, rattrape-toi, t’as raison. »

Je souris ensuite. Il n’y avait pas à dire, avec elle j’étais bien. J’oubliais mes problèmes. J’oubliais toutes ces petites choses qui pouvaient me gâcher la vie. Quand j’vous dis que je suis tombée amoureux d’elle, ce n’est pas totalement des conneries. J’écoutais ce qu’elle me répondit. Je soupirais et répondit :

« Tu vas pas me ruiner, je t’ai pas dit j’ai un compte en banque blindé à Zurich en Suisse ? » Je lui souris et enchaînais sur un ton beaucoup plus sérieux : « Trêve de plaisanterie : non tu ne me ruines pas, et puis j’ai un boulot je te rappelle. Et tu sais, je vais pas m’enterrer avec mes thunes non et puis ça me fait plaisir de t’offrir une glace. »

Je continuais de regarder Penny lorsqu’on se fit interrompre par un chien. J’en avais pas peur. J’avais peur de pas grand-chose en fait. Même en travaillant pour la mafia, j’aurais pu avoir peur de me faire descendre comme pas mal d’entre nous, mais moi non. La seule chose qui me faisait réellement peur était l’amour. Je préférais être blessé physiquement qu’émotionnellement. Je rigolais à sa réflexion et répondis :

« Tu sais, j’ai vécu pire qu’une pique d’insecte. » En plus, j’avais vraiment vécu pire que ça. Comme me battre ou me faire blesser par un couteau, ce n’était pas une piqure de guêpe qui allait me faire peur loin de là. Je l’avais prise ensuite dans mes bras pour ne pas l’embrasser. C’était ambigu et puis ça me permettait de voir si elle me repoussait ou pas. Je la pris ensuite par les épaules et continuait de marcher avec elle dans le parc. Je finissais ma glace puis elle chercha à me faire des chatouilles. Manque de chance, je n’étais pas le genre à craindre. Elle me demandait si j’allais me venger. Sur un ton tout à fait naturel, je répondis : « Non pas du tout. »

C’était surtout une ruse pour qu’elle ne s’éloigne pas. Je continuais d’avancer dans le parc, tranquillement. Puis quand elle regardait, je l’attrapais et commençait à lui faire du chatouille. Bah ouais, il fallait bien que je ruse un peu, sinon ce n’était pas drôle. Je m’arrêtais quelques secondes parce que sinon je sentais qu’elle n’allait plus pouvoir respirer à force de rire. On était jeune, on profitait c’est tout. La plupart des gens devaient nous voir comme un couple. Personnellement, ça ne me gênait pas.
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Penny N. Williams
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MessageSujet: Re: C'est toi et moi contre le monde | Ft. Penny   C'est toi et moi contre le monde | Ft. Penny EmptyDim 1 Sep - 22:56





Matteo & Penny
Dis-moi que tu seras cet allié que j'attendais, dis-moi qu'on avancera toujours en tandem, dis-moi que tu seras me guérir de toutes ces plaies, dis-moi que malgré tout, tu ne changeras jamais, dis-le moi maintenant que tu seras lui.
Matteo me poussait à devenir quelqu’un de plus fort, c’est ce dont j’avais bien besoin, il faut être honnête. Je me sentais mieux, tout simplement, une nouvelle moi se mettait en place. Elle souriait beaucoup plus, elle apprécie grandement la compagnie des autres mais il y aura toujours le passé qui me marquera. C’est dur d’être exclue depuis des années, vraiment, les gens se moquaient et c’est irrationnel quand on tombe sur quelqu’un qui veut bien être à vos côtés, malgré tout ça. C’est presque trop beau pour être vrai encore plus quand il connait votre passé pas très glorieux. Je ne voulais plus être faible, je voulais être insensible aux critiques de la foule. Je ne voulais pas que le jugement des autres m’affecte autant et me laisse complètement déprimée. Je veux voir la vie sous son meilleur jour, profiter de chaque instants, sourire, rire, être heureuse, tout simplement. Je voulais un bonheur accessible, je ne veux pas que tout le monde m’aime, non, parce que c’est impossible, mais simplement me fondre dans la masse. Avec Matteo, je me sentais en quelques sortes spéciale, que moi aussi j’avais quelque chose de bien à lui apporter, la preuve, il venait me voir à nouveau. C’était de précieux moments qu’on passait tous les deux, et j’adorais ça. Il me dit que j’avais raison de me rattraper puisqu’à nouveau, j’allais m’excuser comme si j’étais responsable de toutes les misères du monde. Je le regardais en riant et en lui tirant la langue telle une petite gamine que j’étais. Je renaissais de mes cendres entre les bras de Matteo. On était dans notre bulle, rien ne pouvait gâcher nos moments, c’était vraiment bien, j’étais sur un petit nuage. Je tenais vraiment à lui et j’avais des sentiments à son égard également. Je voulais qu’ils s’en aillent comme ils étaient venus. Matteo n’était pas du genre à tomber amoureux, il passait de conquête en conquête et ce n’est certainement pas pour une fille comme moi qu’il allait se poser. Je ne lui donnerais sans doute pas ce qu’il attendait et peut-être qu’on finirait par se déchirer. J’étais tiraillé entre mon envie d’être avec lui, malgré tout, de m’engager sans savoir où allait et ma raison qui me disait que je pouvais perdre mon ami. Je n’étais pas assez courageuse pour lui dire que je l’aimais, je ne voulais pas souffrir à nouveau ni que ça le gêne d’avoir une déclaration de sa pote de la vie, Penny. « Trêve de plaisanterie : non tu ne me ruines pas, et puis j’ai un boulot je te rappelle. Et tu sais, je vais pas m’enterrer avec mes thunes non et puis ça me fait plaisir de t’offrir une glace. » Je le savais tout ça mais c’était une question de principe et de politesse, je passais ma main dans la nuque tout en croquant dans la glace. Je le regardais ensuite tout en ajoutant. « Merci alors ! Mais n’en prends pas une habitude, moi aussi j’ai de l’argent, je ne suis pas à la rue, je peux te payer des trucs aussi ! » je lui fis un clin d’œil et il y a eu l’épisode du chien. J’étais réellement terrifiée. Le chien avait une tête à faire peur, le maitre était fou de laisser un gros chien comme ça en liberté. J’avais été impressionnée par Matteo qui n’avait pas fléchi, il n’avait même pas cligné une seule fois d’un œil. Moi j’étais hystérique et lui, il était calme, on venait de se faire remarquer par ma faute, le truc que j’ai horreur. On marchait à nouveau tous les deux, son câlin m’avait redonné des forces et m’avait apaisé. Je le chatouillais ensuite et il n’a presque pas bouger, il était vraiment trop fort, il me dit qu’il n’allait pas se venger, au début, j’étais méfiante et je marchais assez loin de lui. Au fur et à mesure, je me rapprochais. Je détournais le regard quelques instants, relâchant ma méfiance, il en profitait pour m’attraper et passait ses doigts sur ses zones-là. Je commençais à exploser de rire et à être dans l’incapacité d’avancer. « Ar..rête ! » je riais et essayais de saisir ses mains pour qu’il arrête, mais il me tenait fermement et je riais aux éclats. Je me collais contre lui et je continuais de rire et mes jambes me lâchaient progressivement, j’allais finir par terre. Je glissais de plus en plus vers le sol. Je le suppliais de me lâcher, mais non, il continuait encore pendant quelques instants puis il me relâchait en enlevant ses mains, je reprenais doucement mon souffle, j’avais des petites crampes aux joues. J’étais rouge, la respiration haletante, je restais accroupie puis je me relevais allant vers lui, je m’éloignais un peu de lui puis je dis « On va s’asseoir un peu dans l’herbe ? » j’allais me venger mais je n’avais pas encore de plans, véritablement.
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MessageSujet: Re: C'est toi et moi contre le monde | Ft. Penny   C'est toi et moi contre le monde | Ft. Penny EmptyLun 2 Sep - 7:58

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J’étais ce mec à double facette. Tout le monde connait le Matteo bad boy, froid et distant mais beaucoup ne connaisse pas le Matteo gentil, drôle et qui fait tout pour quelqu’un se sente bien, qui aime sans compter. Etre froid, c’était pour moi une façon de me protéger. Ne pas montrer ma vraie personnalité pour voir si on arrive à me cerner, à percer ma carapace. Je suis comme ça et rien ni personne ne me fera changer. J’avais un aplomb incroyable et j’étais le genre à super bien savoir aux flics. Les regardé dans les yeux sans faiblir et leur dit de but en blanc que je n’avais rien fait même si c’était faux. Lorsqu’on ne me connaît, on ne sait jamais sur quel pied danser avec moi. Je suis méfiant, trop méfiant parfois. D’un autre côté, j’avais appris à ma méfier des gens trop gentil. Ce genre de personne qui vous font de grands sourires par devant et qui vous plante un couteau dans le dos dès la première occasion. On apprend vite de ces erreurs et le fait de travailler pour la mafia n’arrange pas les choses. On voit des flics partout. On croit être ciblé dès qu’on met un pied dehors. Dans le fond, on se sent coupable. Même les plus grands de ce milieu ont peur mais ils ne le diront jamais. J’écoutais alors la réponse de Penny et soupirait. Je répondis en la regardant :

« Les filles ça ne paient pas. »

Au moins, c’était clair, net et précis. C’est vrai qu’une fille qui paie pour un mec c’est bizarre et c’est surtout du jamais vu. Je continuais de la regarder puis il y eu l’épisode du chien. Le genre de bête qui ne me faisait pas peur. Je n’avais pas peur. Je ne me rendais pas vraiment compte du danger non plus. Il aurait pu me sauter à la gorge mais moi je continuais de le défier du regard. Si son maître ne l’avait rappelé, il aurait faiblis avant moi ce n’était pas possible autrement. On reprit notre chemin et elle essayait de me faire des chatouilles. Je ne croyais pas. Je lui dis ensuite que je n’avais pas l’intention de me venger. Tellement crédible venant de moi. J’avais attendu qu’elle regarde ailleurs, qu’elle baisse sa garde pour me venger. Je la chatouillais jusqu’au moment où je la lâchais. Je ne voulais pas qu’elle meurt à cause d’avoir trop rigolé. Elle reprenait lentement ces esprits. Elle me proposait qu’on aille s’asseoir dans l’herbe, je répondis :

« Ok ça me va. » Je l’entrainais vers la pelouse où il n’y avait personne. Je pris place et lui demandait sur un ton defi : « Alors, dis-moi, t’as prévu de te venger comment ? »

Je la regardais avec un sourire en coin. Genre je sais que tu vas te venger, ne dis pas le contraire. J’attendis sa réponse tout en continuant de la regarder. Il fallait quand même l’avouer, elle était vraiment belle.
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MessageSujet: Re: C'est toi et moi contre le monde | Ft. Penny   C'est toi et moi contre le monde | Ft. Penny EmptyLun 2 Sep - 9:37





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Dis-moi que tu seras cet allié que j'attendais, dis-moi qu'on avancera toujours en tandem, dis-moi que tu seras me guérir de toutes ces plaies, dis-moi que malgré tout, tu ne changeras jamais, dis-le moi maintenant que tu seras lui.
Il fait tellement chaud dehors, une glace n’était vraiment pas de refus, pourtant ça me gênait qu’il paie pour moi. Déjà je n’avais pas l’habitude qu’on m’offre quelque chose, mes parents me payaient plein de truc, c’est vrai mais les autres trucs – des petits trucs futiles – c’est moi qui les payais avec la sueur de mon front, mais ça me touchait vraiment que Matteo m’offre une glace, c’est peu me direz-vous mais moi ça me faisait plaisir, je n’avais pas besoin qu’on m’offre des trucs hors de prix, le plus essentiel c’est que la personne qui m’offre quelque chose ça lui fasse plaisir. Je n’avais pas l’habitude et c’était plutôt sympa. Quand je voulais lui offrir quelque chose en retour, parce que je ne pouvais pas laisser ce geste gratuit sans récompense, il me dit que les filles ne paient pas, bah tiens, je le regardais en croisant les bras et en lui lançant un regard du genre « c’est quoi ce vieux truc de macho ? » non mais sérieusement, depuis quand les filles n’avaient pas le droit de payer, certes, c’était une attitude très gentlemen de sa part et je suis vraiment touchée, je trouve ça trop mignon mais je pouvais au moins lui payer quelque chose. Un verre, une glace, ce n’était rien qu’une fille paie pour un gars de nos jours, on est au 21e siècle quoi. Je soupire tout en regardant Matteo puis je lui répondis ensuite « Mais c’est quoi ça ? Bien sur que oui et si j’en ai envie, je te paierai un verre ou une glace que tu le veuilles ou pas. Ca me ferait tout autant plaisir que toi quand tu m’as payé cette glace ! Mais j’avoue que ton attitude est très gentleman et c’est trop adorable. » Je pensais mignon mais ça allait sans doute être plus ambigüe qu’adorable. Je devais peser mes mots pour ne pas trahir mes sentiments, je n’étais pas du genre à tout dévoiler mais plutôt à tout cacher pour oublier ses sentiments, je voulais les mettre dans un coin et qu’ils s’en aillent. Matteo m’avait sauvé du chien, heureusement qu’il était là puis là il était entrain de me faire mourir de rire en me chatouillant, si bien que j’allais vraiment finir par terre, on était sur la route alors forcément on gênait les autres promeneurs, ils devaient se dire qu’on était de vrais gamins et c’est vrai, j’assume, les chatouilles ont duré longtemps, si bien que j’avais besoin de temps pour reprendre un peu mes esprits. Je n’avais jamais autant ris avec quelqu’un qu’avec Matteo, c’est lui qui me donnait mon sourire et la force pour avancer, j’étais morte et j’avais une crampe aux joues. Je faisais des espèces d’étirements puis Matteo était d’accord pour qu’on aille se poser un peu dans l’herbe, parfait. Je devais me venger, je ne pouvais pas le laisser s’en tirer comme ça, il en était hors de questions. Il s’asseyait et il me demandait comment j’avais prévu de me venger. Je le regardais en disant « Franchement, je ne sais pas encore ! » j’étais toujours debout moi, j’allais me poser quand soudain, j’avais trouvé quelque chose, complètement l’allongé par terre et m’asseoir dessus, ça pouvait être drôle, en plus, c’était nul qu’il ne craignait pas les chatouilles. Je me mis face à lui puis je me jetais littéralement sur lui, il basculait en arrière, moi avec du coup, mais je me protégeais grâce à son cou, puis je me redressais vivement et je viens poser mes fesses sur son ventre, tout mon poids ne reposait pas sur lui, je ne voulais pas l’écraser. Par contre s’il dit que je suis grosse, j’allais vraiment très mal le prendre. Je baisse ma tête en direction de son visage puis je dis « Ici, c’est vraiment trop bien, t’es une superbe chaise, bien confortable et tout je vois tout le parc, parfait ! » je savais qu’il allait se venger et qu’il pouvait me dégager de lui en un rien de temps, mais comment il allait le faire, ça, je ne sais pas.
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MessageSujet: Re: C'est toi et moi contre le monde | Ft. Penny   C'est toi et moi contre le monde | Ft. Penny EmptyLun 2 Sep - 10:09

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J’adorais les glaces. Depuis que j’étais môme je pouvais en manger à n’en plus pouvoir. Je me souviens même que lorsque j’étais au collège et que j’étais en sport-étude avec des potes à moi, on allait s’acheter des glaces tous les soirs avant de rentrer à l’internat. Enfin bref, j’en avais offert une à Penny d’une part parce que j’en avais et d’autre part parce que je n’étais à une fille de payer. Ouais, ce truc de la galanterie ça date depuis des millénaires et ce n’est pas de ma faute si j’aime bien me montrer galant de temps à autre. Bien sûr, je ne le faisais pas avec toutes les filles. Je n’étais pas ce genre de connard. Enfin quoi que… Je regardais Penny me répondre et j’arquai un sourcil, je répondis simplement :

« Bah tu fais ce que tu veux mais je campe sur mes positions : c’est pas aux filles de payer. Et viens pas me contredire parce que tu sais que j’ai raison. »


L’épisode du chien me fit rire. Ou pas. J’avais juste joué les gros durs à faire comme si je n’avais pas peur. En réalité, je n’avais pas vraiment eu peur. Je savais que le chien allait flancher avant moi. J’étais comme ça. Peur de rien. Je me rendais pas vraiment compte des dangers, je me moquais un peu de tout ce genre de chose. On se dirigeait ensuite vers l’herbe. Je lui demandais comment elle avait l’intention de se venger. J’étais réaliste, elle allait forcément le faire. C’était une fille après tout. Je me posais dans l’herbe et la regardait. J’attendais qu’elle prenne place à côté de moi. Ce qu’elle ne fit pas. Elle se jetait littéralement sur moi et je tombais à la renverse. Elle aussi d’ailleurs. Elle se posait ensuite sur mon ventre. Je souris et mis mes main derrière ma tête tout en la regardant. Je répondis :

« Si tu le dis, ça me permet de me faire les abdos au moins. » Je la regardais, puis attendit quelques minutes. Juste qu’elle savoir son espèce de mini-victoire. Puis, j’arrivais à lui de nouveau des chatouilles sur les côtés pour qu’elle bouge. Une fois qu’elle fut partit de mon ventre, je me relevai et lui lançai : « Tu sais, tu ferais mieux de te méfier parce que vu que je sais que tu crains les chatouilles, je risque de souvent me venger comme ça. » Je m’appuyais sur mes coudes et la regardait. J’avais d’autres moyens pour la taquiner mais je voulais lui laisser croire que je n’avais que ce moyen-là. Toujours en la regardant, j’ajoutai : « Ah oui et dernière tu devrais abdiquer parce que tu ne gagneras jamais à ce jeu-là avec moi. »

Je la regardais avec un sourire. C’est vrai que je n’étais pas du genre à laisser gagner quelqu’un. Même si c’était une fille. J’avais ma petite fierté et il fallait bien avouer que j’étais assez mauvais joueur. Lorsque je perdais ce n’était jamais de ma faute, mais toujours celle des autres. Enfin quoi qu’il en soit si elle pensait gagner avec moi, elle se mettait le doigt dans l’œil et jusqu’au coude.
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Penny N. Williams
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MessageSujet: Re: C'est toi et moi contre le monde | Ft. Penny   C'est toi et moi contre le monde | Ft. Penny EmptyLun 2 Sep - 14:39





Matteo & Penny
Dis-moi que tu seras cet allié que j'attendais, dis-moi qu'on avancera toujours en tandem, dis-moi que tu seras me guérir de toutes ces plaies, dis-moi que malgré tout, tu ne changeras jamais, dis-le moi maintenant que tu seras lui.
Matteo faisait preuve de galanterie, c’était tout à son honneur, c’est vrai. Il n’y avait rien à dire mais je trouvais quand même ça un peu macho, pourquoi les filles ne pourraient pas payer quelque chose à leur tour, pour rappel nous sommes au 21e siècle. On est censé avoir évolué et je ne voulais pas que Matteo pense que je profite de son argent, ou même quelqu’un d’autre. Je n’étais absolument pas comme ça et ça me gênait, je ne serais décrire ce sentiment avec exactitude, seulement ça me gênait. Je ne sais pas s’il arrivait à comprendre ça, même si pour lui c’était une évidence et c’était vraiment adorable et bien attentionnée de sa part. Je levais les yeux, sentant un regard vers nous, une jeune femme nous regarde, elle était avec une bande de copines qui se retournaient ensuite vers nous, je baisse doucement la tête, ne regardant que le bas du visage de Matteo, enfaites, c’était pire, je relevais les yeux pour le regarder vraiment dans les yeux et essayait d’oublier cette présence qui nous épie depuis quelques secondes déjà. Matteo me dit qu’il campait sur ses positions parce que de toute façon, ce n’était pas aux filles de payer et que je n’avais pas le droit de le contredire parce qu’il a raison, bah tiens, il croit vraiment que je vais me gêné, je croise les bras sur ma poitrine tout en disant « Non, c’est mignon, mais tu n’as pas raison pour autant, je suis désolé, moi aussi je campe sur mes positions. J’ai l’impression de profiter de toi, c’est horrible ! » Je passe ma main dans ma nuque en signe de gêne puis on se pose ensuite dans l’herbe après que Matteo m’avait foutu limite par terre avec ces chatouilles et que j’avais des crampes aux joues à force de rire. Ca me tirait, mais c’était agréable, ça faisait longtemps que je n’avais pas ri comme ça et puis l’épisode où j’ai failli broyer Matteo par peur était loin derrière nous du coup bien que ce soit arrivé il n’y a même pas une heure. Je voulais aller me poser aussi pour voir si la fille s’intéressait vraiment à Matteo, si elle allait camper là, pas loin de là où nous étions assis pourtant je venais de me jeter sur mon ami, je regardais furtivement si sa bande de copines et elle étaient là et ce fut encore le cas, elle regardait en notre direction, elle ne baissa pas les yeux lorsqu’elle vit que je la vis. Je baissais ensuite la tête et me posait sur son ventre pour le punir de m’avoir chatouillé tout à l’heure, j’étais dos à elle. Je regardais Matteo qui foutait ces mains derrière sa tête pour la soutenir, il me dit qu’au moins ça lui permettait de faire des abdos, je le regardais à moitié choquée et vexée en disant « Dis que je suis grosse aussi tant que t’y es ! » je baissais la tête, ça blessait encore beaucoup bien que j’avais pas mal maigri. Je savourais ma victoire fière de moi, Matteo n’avait l’air de rien dire. J’avais un grand sourire fière puis Matteo posa ses mains et commença à me chatouiller à nouveau, je me tortillais dans tous les sens et je m’assis à côté du coup, ça n’allait pas arranger mes crampes tout ça. Je le regardais et je lui tirais la langue, il l’avait bien mérité quand il me dit qu’il n’allait prendre que ce moyen là pour se venger, je le regarde en disant « C’est pas juste, toi t’es pas chatouilleux, forcément que ça va rien te faire ! » je fis semblant de bouder quelques instants puis je riais tout en le regardant, j’essayais d’occulter le regard insistant de la jeune femme qui essayait de savoir si on était ensemble sans doute. Il me dit ensuite que je devais abdiquer, je le regardais et foutais mes poings sur les hanches en signe de détermination. « Je n’abdiquerais jamais ! Tiens-toi le pour dit ! » Je le regardais avec un regard malicieux et en riant. Que je gagne ou que je perde, je m’en foutais, c’était juste histoire de lui tenir tête. J’adorais lui tenir tête même si je savais qu’il était plus fort que moi mentalement. Il était à côté de moi et je ne pouvais m’empêcher de regarder la fille de temps en temps, je voulais qu’elle nous laisse tranquille, c’était notre moment, on n’avait pas besoin d’elle. Je déglutissais doucement, j’étais jalouse alors qu’il n’y avait pas de quoi. Je fermais les yeux doucement puis je vois qu’elle quitte son groupe d’amis et qu’elle vient vers nous. Je baisse la tête, résignée d’un coup. J’allais déprimer ce soir, puis elle était jolie, il n’y avait pas de raisons qu’elle ne soit pas son type de fille, je voyais son ombre se rapprochait de nous et je me sentais piégée, dans un élan de folie, je regardais Matteo et je collais mes lèvres aux siennes dans un geste tendre, ce fut plus fort que moi. Je venais de réaliser ce que j’avais fait et je baissais la tête, j’étais gênée. Matteo devait vraiment être surpris, je n’osais même plus le regarder. Je me levais d’un bond, la jeune fille faisait demi-tour, sans doute dégoutée, j’avais gagner mais au final, Matteo savait tout. J’étais chamboulée et je ne voulais pas qu’il le sache, enfin pas comme ça, il n’allait plus me regarder de la même façon et il allait me recaler purement et simplement, il se sentirait gêné et on ne serait plus amis comme avant. « Je suis désolé, c’était stupide, je ne sais pas ce qu'il m'a pris, je vais y aller.. C’est mieux comme ça. » je tournais les talons ensuite, je venais de tout gâcher. Ma jalousie avait pris le dessus. Je quittais l’herbe et je commençais à marcher vers la sortie en ayant les yeux remplis de larmes. Quelle conne.
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Dernière édition par Penny N. Williams le Lun 2 Sep - 21:40, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: C'est toi et moi contre le monde | Ft. Penny   C'est toi et moi contre le monde | Ft. Penny EmptyLun 2 Sep - 16:04

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Si elle croyait que j’allais la laisser payer, elle se mettait le doigt dans l’œil. Certes, on était au 21e siècle mais il y a des choses comme ça qui traverse les années. Je n’aimais pas qu’une fille paie quelque chose et encore moins quand c’était Penny. Nan mais franchement, si elle croyait que j’allais changer d’avis avec ses arguments à la noix, elle se mettait une nouvelle fois le doigt dans l’œil. De toute façon, si on partait du principe que j’avais toujours raison, tout le monde avait tout compris. J’avais remarqué qu’un groupe de filles nous fixaient, enfin qu’une nous regardait avec insistance mais je m’en moquais. Qu’elle continue à me regarder mais qu’elle n’espère pas que j’allais tourner les yeux vers elle. Des espèces de pouff’ qui rigolent pour rien merci, mais non merci. Je détestais ce genre de fille qui se prend pour ce qu’elles ne sont pas. Dix fois trop maquillés. Ouais, je n’étais pas compliqué moi avec les filles. Quelqu’un comme Penny m’allait. Elle était jolie, simple et gentille. Et puis, il fallait bien avouer que je n’étais pas le genre à me mettre en couple alors autant ne pas penser à ça. Je soupirais pour la énième fois à sa réflexion :

« Tu profites de rien du tout. Si moi ça me fait plaisir, t’as rien à dire, c’est tout. »

Non mais oh ! Elle a vraiment que j’allais la laisser avoir raison ? Elle se fourrait vraiment le doigt dans l’œil. Bref, après l’avoir chatouillé jusqu’à qu’elle ne puisse plus respirer, on était allé s’installer dans l’herbe. Elle s’était assise sur moi pensant que ça allait m’embêter. Ca marchait un peu mais je ne montrais rien. Je fis comme si ça ne me gênait pas et dieu sait que j’étais fort à ce jeu-là. Je rigolais lorsqu’elle sortit sa réflexion. J’aurais peut-être dû ne pas rire mais c’était plus fort que moi. Je lui lançais :

« Bien sûr que non, j’ai jamais dis ça. T’es parfaite !» Je lui souris puis ayant mes mains calé derrière la tête, je lui dis : « Ca va, ils sont confortables mes abdos ? » Je souris, puis recommençait à lui faire des chatouilles pour qu’elle prenne place à côté de moi. Penny me dit aussi que jamais elle n’abdiquerait. Bah tiens ! Elle voulait vraiment jouer à ce jeu-là avec moi ? C’est ps de ma faute si elle risquait de perdre. Je l’aurais simplement prévenu. Avec un sourire en coin, je lui dis : « C’est ce qu’on verra dans ce cas. »

Elle était assise à côté de moi, je la regardais. Je voyais dans mon champ de vision, la pouff’ de toute à l’heure venir vers nous. Elle était sérieuse elle ou ça se passe comment ? Continuant de regarder Penny, je fus surpris qu’elle m’embrasse. Elle s’excusait ensuite et commençait à partir. Je la regardais partir quelques secondes. « Putain mais réagis Matteo, j’sais pas fais quelque chose, bouge ton cul, rattrape-là ! » disait une petite voie dans ma tête. Je me levais alors et me mis à courir vers elle, je lui attrapais le bras et fit en sorte qu’elle se tourne vers moi et qu’elle soit tout contre moi. Je déposais mes lèvres sur les siennes quelques secondes, puis la regardais dans les yeux :

« Pourquoi tu t’excuses ? » Je marquais une brève pause et ajoutais : « Si c’est pas ce que tu veux, je peux comprendre mais t’as pas t’excuser… » Je continuais de la regarder dans les yeux. Je ne savais pas vraiment comment elle allait réagir. Je ne savais si elle allait prendre la fuite ou si elle allait simplement me dire qu’elle voulait qu’on soit plus que des amis. Je n’avais jamais eu de relations sérieuses et cette idée me faisaient peur mais qu’est-ce que je ne ferais pas pour elle ?
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MessageSujet: Re: C'est toi et moi contre le monde | Ft. Penny   C'est toi et moi contre le monde | Ft. Penny EmptyLun 2 Sep - 22:14





Matteo & Penny
Dis-moi que tu seras cet allié que j'attendais, dis-moi qu'on avancera toujours en tandem, dis-moi que tu seras me guérir de toutes ces plaies, dis-moi que malgré tout, tu ne changeras jamais, dis-le moi maintenant que tu seras lui.
Matteo est têtue, je suis têtue, deux têtus ensemble, ça fait parfois des étincelles et j’ai bien l’impression qu’aucun des deux ne veut abdiquer. J’ai peut-être pas beaucoup de caractère mais quand je suis persuadé de quelque chose, c’est bien ancré dans ma tête et pas autre part.  Il campait sur le fait que c’était à l’homme de payer. Ça me faisait tout simplement rire, c’est un peu « old fashioned » maintenant. Les mentalités avaient un peu bougés et beaucoup de femmes payent maintenant leur part au resto ou même la note complète, l’égalité des sexes passe par là et ce n’est pas un verre ou une glace qui va me ruiner, heureusement pour moi. Il avait des principes, le code de gentleman, c’était vraiment tout à son honneur mais je n’allais pas plier sur ça et j’allais continuer de me « battre » et de me prendre en quelque sorte la tête avec lui. La prochaine fois, il allait sans doute tout faire pour m’empêcher de payer mais j’allais bien ruser et bien finir par payer au moins une fois, je ne compte pas arrêter notre amitié de sitôt, s’il veut toujours continuer à être mon ami. Je ne répondis rien quand il se défendait une nouvelle fois, on aurait l’occasion d’en reparler, ça c’est clair, parole de Williams. On s’installait ensuite dans l’herbe, je voulais l’embêter, j’étais plutôt un bon public, j’ai du mal à m’ouvrir aux autres mais une fois que je me sens parfaitement en confiance, je peux rire de tout et je découvre que j’adore embêter mes proches. J’étais assise sur lui et j’attendais sa réponse avec une certaine appréhension, la question du poids, c’est quelque chose de tabou chez moi. A ma question, il se mit à exploser de rire et je commençais un peu à bouder, il le savait, il n’avait pas d’excuses, je voulais juste bouder à ce moment-là, il me répondit que j’étais parfaite comme j’étais, je croisais les bras en levant les yeux « Ouais c’est ça, essaie de te rattraper, trop tard ! » j’affichais toujours ma mine boudeuse malgré son sourire. Il me demandait ensuite s’ils étaient confortables ses abdos, je continuais de bouder encore un peu avant d’ajouter « Ma foi non, par endroit ils sont un peu trop mous ! » ma petite vengeance personnel et il me chatouillait et tout était oublié. Le fait de la jeune femme qui nous regardait ne me rendait pas d’agréable humeur, j’étais jalouse dans le fond alors que je ne devrais pas. Pourtant le geste après, c’était sans doute pas une bonne idée..
Je venais de le laisser sur l’herbe, j’aurais pu lui dire que je ne ressentais rien et que j’ai fais ça par jalousie purement amicale mais ce n’est pas vrai, il était libre d’aller voir la jeune fille s’il le voulait, je ne voulais simplement pas voir ça, ça ferait tout simplement trop mal. Je culpabilisais, je ne voulais pas qu’il le sache, je ne voulais pas perdre le seul ami mec que j’avais réellement, pourquoi ces sentiments se sont emparés de moi ? Je ne leur ai rien demandé moi. Un geste stupide de jalousie qui remettait tout en cause, les larmes coulaient toute seule, des larmes de colère, de colère contre moi-même, je les essuyais du revers de la main, je voulais partir au plus vite et qu’on me laisse tranquille. Les gens me regardaient, certains avec de l’incompréhension et d’autres de la pitié. J’enfouissais ma tête, ne regardant que le sol, ma tête marchait à 350 km à l’heure, c’était trop tard pour revenir en arrière. Je ne voulais pas le voir, je ne voulais pas affronter son regard, je marchais vite et j’atteignais la sortie presque lorsque je sentis que je ne pouvais plus avancer comme je le voulais, quelqu’un venait de me prendre le bras, je ne pris même pas la peine de me retourner, je voulais partir mais on me tenait fermement, on me força à faire face, c’était Matteo, je le savais. Je regarde mes pieds, je ne veux pas croiser son regard, il baissait sa tête et posait ses lèvres sur les miennes, je ne comprends pas vraiment, mon cœur a loupé plusieurs battements là. Comment moi, Penny Williams, je pouvais lui plaire ? Il était bien trop bien et trop beau.. Il mérite mieux qu’une fille comme moi, il me dit que je n’ai pas à m’excuser et me demandait pourquoi je m’excuser et pourtant si il le faut, je baisse la tête et je répondis « Si Matteo, justement c’est ce que je veux et c’est bien ça le problème. Je suis jalouse, quand elle s’est approché, j’ai eu le besoin de sortir les griffes alors qu’on est même pas ensemble, je te prive de ta liberté, c’est pas correct. Je ne veux pas que tu te sentes pris au piège, je sais que tu passes de fille en fille et ça ce n’est pas ce que je veux, être une conquête. Tu es mon seul ami Matteo, j’ai pas le droit de tomber amoureuse de toi, j’ai trop peur de te perdre. Regarde toi tu es beau tu as tout pour toi, pourquoi tu voudrais d’une fille comme moi ? » je marquais une courte pause tout en le regardant et je continuais « Je suis désolé de ressentir ça pour toi, je sais que ce n’est pas ce que tu veux, je suis désolé de tout compliqué, mais je te promets d’oublier mes sentiments, de faire une impasse dessus, j’ai trop besoin de toi pour te perdre mais il me faudra un peu de temps… » Je pensais tout ce que je disais, j’étais prête à faire l’impasse sur mes sentiments, je regardais Matteo puis mes yeux était rivée sur le sol. Je n’attendais rien, j’avais aucun espoir qu’il me dise ce que je veux entendre. Je comprends tout à fait qu’il ne s’intéresse pas à moi.
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MessageSujet: Re: C'est toi et moi contre le monde | Ft. Penny   C'est toi et moi contre le monde | Ft. Penny EmptyMer 4 Sep - 16:52

C'est toi et moi contre le monde | Ft. Penny Tumblr_m14yi4rU871qfvzyf

J’étais têtu. Et j’avais toujours raison. Même quand j’avais tort. Je campais sur mes positions quoi qu’il arrive et je démontrais par a+b que j’avais raison. Certains, voir même beaucoup, ne me supportait pas à cause de ça. Je voulais toujours avoir le dernier même si pour cela, je devais répéter quarante mille fois la même chose. J’étais gentleman mais il ne fallait pas trop m’en demander. Je n’étais pas comme ça avec toutes les filles. Lorsque je croisais une fille et que je l’emmenais chez moi pour qu’on finisse ensemble, je me moquais pas mal du principe d’être gentleman. Ouais, j’avais moi aussi un côté salaud mais ça me passait six pieds au-dessus de la tête. C’était des filles que je ne croiserais plus jamais. Et même si je les recroisais, qu’est-ce que ça faisait concrètement ? Enfin bref, Penny ne répondit rien. Un à zéro pour moi, j’avais gagné. Au fond de moi je jubilais tel un gamin qui avait gagné une compétition de ski. On allait ensuite s’installer dans l’herbe et elle se posait sur mes abdos. Après lui avoir fait une vanne, certes mal placée, je lui dis qu’elle était parfaite. Elle continuait de faire la boudeuse. Soit, on verra bien lequel de nous deux tiendra le plus longtemps. Elle me dis ensuite que mes abdos étaient mou à certains endroits. Je répondis :

« Qu’est-ce t’as ? Ils sont parfaits mes abdos… »

Je la chatouillais une nouvelle fois pour qu’elle dégage de mes abdos. On se retrouvait dans l’herbe et on rigolait comme des gamins. Une fille arrivait vers moi et Penny m’embrassa. Sur le coup, je ne sais pas vraiment ce qu’il s’était passé. L’autre fille était repartie et Penny s’en allait de son côté. J’eus un temps, quelques minutes, pour réagir. C’était même pas la question de savoir pourquoi elle avait fait ça. Enfin si, mais non. Je la rattrapais et écoutais ce qu’elle me répondit. Elle avait raison : j’étais pas du genre à me caser. Je continuais de la regarder et baissais les yeux, quelques secondes puis relevais le regard vers elle et répondis :

« Si j’passe de filles en filles sans me poser de questions, c’est surtout parce que je veux pas souffrir à cause d’une fille. C’est plus facile de s’amuser avec une fille que je connais pas et que je ne reverrais jamais. J’me suis toujours interdit de tomber amoureux d’une fille parce que j’ai jamais trouvé quelqu’un qui en vaille la peine. » Je marquais une brève pause et ajoutais : « Tu sais, on m’a toujours dit que l’amour ça ne s’explique pas mais t’es une fille géniale. T’es belle, gentille et super drôle. J’crois que je suis tombé amoureux de toi et j’pense que je suis prêt à prendre le risque de t’ouvrir mon cœur. » C’était la première fois que je sortais ce genre de chose. Je baissais le regard et ajoutais : « Après si tu veux qu’on reste simplement parce que toi t’es pas prête à avoir de nouveau une relation comme celle-là, j’peux le comprendre. »

Elle avait l’opportunité de me briser le cœur. Maintenant que je lui avais dis ça, elle pouvait m’envoyer bouler, quitte à ce que ça me fasse mal. J’avais peur. Je ne savais pas vraiment dans quoi je m’embarquais. J’espérais simplement qu’elle ne me repousse pas.
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